Mohamed Lamine Condé je suis très indigné de lire un tel propos venant d’un malinké.
Non! Je t’interdis d’entrer dans de tels débats de caniveau. D’ailleurs, il ne l’a jamais dis!
Nous sommes face à une révolution de palais. Le Président Mamady Doumbouya n’avait pas le choix, on voulait de sa peau. Lui sa sanction aurait été différente de celle des nombreux civils brocardés. C’était la potence avec ses compagnons d’armes qui était planifiée. As-tu imaginé la perte cruelle qui allait être infligée à cette nation par l’extinction par ce clan de destructeur de talents et compétences logé à la Présidence qui avait pour seul leitmotif : tout, sauf l’émergence d’un leadership malinke?
La situation que nous vivons, est la résultante des intrigues et autres guerres de clan entretenu par le PRAC insidieusement. Je te prie à l’avenir, de te garder d’insulter toute une communaute ethnique pour un seul individu et qui a cherché à utiliser celle-ci plutôt comme un instrument du pouvoir ou contrepoids face à une autre “rivale” sur l’échiquier national et qui difficilement, retient encore ses pulsions et sa soif non etanchée pour un pouvoir politique central qu’elle a du mal à conquérir depuis la veille de l’indépendance jusqu’ànos jours que d’aider sincèrement à émerger. Cela malgré tous les pogroms connus, sa persécution et sa paupérisation par le régime qu’elle a combattu souvent par lui (PRAC )!
En effet, entre le PRAC et les malinke, si quelqu’un a trahi, ce n’est pas les malinke. Tout le monde a vu çà venir!
Tirons les leçons de cette situation et je pense qu’à l’image de tous ces partis constitués sur des bases ethniques et au sein desquels, il n’ya ni démocratie, ni alternance encore moins justice. Tous, restent ou fonctionnent plus comme des “entreprises politiques ” où les leaders sont de véritables entrepreneurs politiques (PDG) que Président de partis à cause de réelles problèmes de gouvernance en tout genre qui les minent.
Sois croyant et resignons nous à notre sort. Lorsqu’on a arrêté la pauvre et indigente (que je sois permis celà à cause du caractère très modeste et précaire qu’elle connaît comme situation économique ) Fatoumata DOUMBOUYA dite “Fatou Bangoura ” la pauvre dame, j’ai pleuré dans ma chambre et depuis j’ai dit à plusieurs proches que Dieu n’accepte pas de telles injustices. C’est de bonne guerre que ce soit quelqu’un de l’âge de cette brave militante qui ait arrêté la machine de destruction interne que le PRAC ne contrôlait plus.
Nous sommes tous des anciens spermatozoïdes et des futurs cadavres, dans cet intervalle de temps, il n’ya que l’usufruit du pouvoir, il n’ya pas de pouvoir car le pouvoir n’appartient qu’à DIEU, Allah soubanah watala! Dixit l’ex PM Idrissa Seck du Sénégal.
Allah, vient de nous rappeler sa toute-puissance, Mamady n’a pas de pouvoir, c’est un dépôt, il est un usufruitiers et lorsqu’il sera aussi injuste, l’omnipotent avisera.
Arrêtons les balivernes, remettons nous et revenons à Dieu, implorons son pardon!Et allons sécher les larmes des parents de tous ses marmots arrachés à l’affection de leurs parents.
Interdire les partis politiques par la junte aurait été le cadeau le plus précieux à offrir à la Guinée. Remettre tout le monde ensemble par une déconstruction totale pour un nouveau départ sera une des alternatives des plus crédibles.
La Guinée a besoin de refondation comme on le dit: de remise à plat. La justice qui est l’élément ou le ventre mou de devise de notre nation comme l’a si bien dit le Président Mamady DOUMBOUYA, doit demeurer la priorité des priorités. Car il ne servira plus, à construire des routes où la brûlure par pneu et autres deversages des huiles de moteur usées seront le geste favori des mécontents, il ne servira plus rien à construire des écoles où des militants extrémistes insatisfaits viendront incendier des classes d’écoles contenant du matériel électoral pour une élection contestée…les cas de figure sont interminables !
Je t’invite très fraternellement à supprimer ce post! Et présenter excuse à ta communauté d’origine et d’appartenance.
Ton frère et admirateur, Souleymane DOUMBOUYA.