» Tout est bien, qui finit bien ». Le gouvernement guinéen, le géant Rio Tinto Simfer et Winning Consortium Simandou ont, finalement, trouvé un accord, mercredi 27 juillet 2022, sur la convention portant la création d’une co-entreprise.
Il s’agit d’un grand projet de 15 milliards de dollars américains. Le mégaprojet porte, entre autres, sur la construction du Port de Benty et du très attendu Trans guinéen. Dans le détail, il s’agit d’un chemin de fer de 600 kilomètres, censé relier le site des gisements de fer de Simandou, en Guinée-Forestière, au futur Port de Benty, à Forécariah, sur le littoral.
A terme, le mégaprojet va permettre aux autorités guinéennes, sous la clairvoyante direction du Colonel Mamadi Doumbouya, de reconstruire l’économie nationale, dont tous les voyants étaient au rouge sous le régime précédent.
Il faut rappeler que, sous le dynamisme et l’impulsion du Colonel-Président, l’État guinéen n’est pas en reste dans cette belle aventure. Sous la houlette du Chef de l’État, le bâtisseur d’une Guinée moderne et émergente, le gouvernement a réussi un exploit exceptionnel, un véritable coup de maitre. Histoire de financer gratuitement, à hauteur de 15 %, le mégaprojet du Simandou.
Comme on le voit clairement, le Président de la République, Chef de l’État, Chef Suprême des Armées, fait du développement durable de notre cher pays, son prestigieux cheval de bataille. L’inamovible et l’infatigable défenseur des intérêts supérieurs de la Nation est allé jusqu’à rappeler, sous le sceau de l’humilité, mais dans la fermeté, que les intérêts non négociables de la Guinée doivent absolument passer avant tout.
Le moins que l’on puisse dire, c’est que l’enfant prodige de Kankan Nabaya est en train de relever, sereinement et sûrement, avec brio, l’immense défi qu’il a hérité des régimes précédents. Comme le dirait l’autre, le Messie National du 05 septembre 2021 est toujours guidé par le bon sens au moment idéal. C’est le prototype d’hommes d’État plutôt pragmatique que bavard. Et, c’est tant mieux pour la Guinée et les Guinéens.
Mandian Sidibé, Journaliste