La seule planification réussie et la stratégie la plus efficace mûries par Sékou Koundouno n’ont été autres que sa lâche et éhontée fuite pour abandonner l’utopiste “révolutionnaire” Oumar Sylla alias Foniké Manguë Foniké à son destin et en correctionnel face aux très dures astreintes du CHANGEMENT prôné et incarné par le Professeur Alpha Condé.
Le Grand “Grand CHE” nous enseignait : « Je préfère mourir débout que de vivre à genoux ! » Et, pour donner corps et âme à cette stoïque philosophie, il abandonna les conforts des salons douillets des grandes agglomérations pour l’austérité et le dénuement des forêts et jungles subtropicales des maquis Sud-américains. Cette rage intemporelle et sans frontières de vaincre l’impérialisme l’amena jusqu’au Congo pour appuyer un certain Kabila père revendiquant l’héritage Lumumbiste avant de se réviser très vite de quelques attitudes anti-revolutionnaires du jeune rebelle Congolais.
Comment des jeunes sans aucune référence idéologique et sans passé militant quelconque peuvent-ils conduire un Peuple aussi grand, aussi intelligent que le vaillant Peuple de Guinée ? À quel rite initiatique de grandeur d’âme ont-ils été forgés ?
De Koundouno, tout ce qu’on sait avant qu’il ne soit le correspondant local de la très prestigieuse Organisation d’activistes, le “Balai Citoyen” du Burkina Faso, ayant largement contribué à la chute de Blaise Compaoré. Comparaison n’est toujours pas raison, car une révolution ne se conçoit pas dans la tête d’un ou de quelques individus devenus aigris sociaux par frustration ou incomplet de leurs destinées. Une révolution est la résultante de plusieurs conditions sociologiques qui tirent leurs causes lointaines parfois sur plusieurs décennies dont les germes venus à maturité éclosent par un simple ou fait banal appelé prétexte.
Comment ce Sékou Koundouno, passé de valet de Dr Dansa Kourouma, président du CNOSCG (selon plusieurs témoignages dont il nettoyait la chambre et voué aux petits travaux de gens), peut-il surgir subitement de nulle part, comme on le dit ‘’sortir ex-nihilo comme une vraie génération spontanée’’ et prétendre conduire cette grande Nation ?
“Quand une Nation tombe, il n’y a que de petites choses qui restent debout!” Avait dit un grand penseur .Allons-nous par quelle ineptie commettre la bêtise collective rabougrir notre très chère Patrie en la ramenant à la vision de ces jeunes sans emploi se réclamant d’une soi-disant société sans objet, sans but et sans aucun domaine d’activités sociales ,si ce n’est faire des quêtes publiques ou tenter de lever des fonds publics et à ciel ouvert pour venir déstabiliser un régime démocratique et solidement implanté. Pousser même la cruauté et l’extrême, jusqu’à prévoir la part réservée à être versée aux parents des victimes !
Koundouno à qui la nature a refusé de sourire et en vers lequel Dieu et ses anges ont été précautionneux physiquement en faisant de lui, un vrai apollon de la laideur physique encore moralement enlaidit aujourd’hui par ses vaines imprécations contre ce vaillant et brave Peuple de la Guinée des grands hommes que sont: le révolutionnaire et panafricain Ahmed Sékou Touré, le Patriote et Général- paysan Lansana Conte et le Père de la Guinée moderne et incontestablement sur la voie d’un avenir radieux grâce à la rampe de lancement pour le développement durable du prodigieux PrAC ( que Dieu l’assiste et le garde longtemps pour nous!)
Il ne reste qu’à rappeler à ce garnement, à ses acolytes et ses soutiens qu’un dicton populaire dispose que : « celui qui a mangé la tête d’un lion ne saurait avoir peur des yeux » et comme l’a dit un politique : « On demande la dent de la panthère à celui qui a mangé la tête ! »
Les patriotes vous attendent !
Sayon MARA, Juriste